La transparence administrative, définie par la loi sur l’information (LInfo), garantit un accès ouvert aux activités étatiques et municipales. Malgré les outils logiciels disponibles, la Municipalité ne semble pas fournir des informations complètes et lisibles, soulevant des questions sur ses pratiques de communication.
Municipal à Prilly, Ihsan Kurt estime que le système de milice arrive en bout de course. Que c’est une manière de gouverner «à la façon des siècles passés». Pour faire notamment face à la charge de travail en augmentation, professionnaliser les exécutifs s’impose, selon lui.
Quelle information à la population prillérane sur ses droits aux prestations d’assurances sociales ?
Où en est la Municipalité dans ses réflexions quant aux nouveaux espaces de travail au sein de l’administration communale?
Le PSIG demande à la Municipalité de se mette en conformité avec Loi sur la protection des données personnelles (LPrD) en matière d’annonce des équipements de vidéosurveillance, des lacunes et des incohérences étant relevées.
Le PSIG a demandé des précisions concernant la taxe sur le financement de l’équipement communautaire communal et de différer sa perception lors du permis de construire ou de la vente du terrain.
Le changement de majorité à la Municipalité et au Conseil a déstabilisé un équilibre bien enraciné, provoquant des crispations à droite.
Un projet de casino est à l’étude à Malley. Quelle est la position de la Municipalité de Prilly quant à ce projet? L’estime-t-elle compatible avec son programme de législature?
Estimant qu’il y a clairement un conflit d’intérêt suite au versement d’un don substantiel du LHC à la campagne du syndic prilléran, qui est aussi vice-président du conseil d’administration du Centre sportif de Malley (CSM), le Parti socialiste de Prilly a demandé à la Municipalité si elle entendait redéfinir sa représentation au sein de ce dernier.
Olivier Pilet, coprésident du PS Prilly, revient avec des demandes de précision sur le rapport de gestion 2021 du Centre sportif de Malley (CSM).
La commune traverse une période de turbulences et défraye la chronique. Au centre de l’attention, le PLR, en raison de ses liens avec les milieux immobiliers. Ces affaires révèlent un parti dont le système de réseautage apparaît en profond décalage avec les aspirations de la population à la transparence.
L’accueil déplorable des clients de la piscine de la Fleur de Lys au restaurant de l’Almora et de son kiosque est inacceptable. Nous demandons à la Municipalité d’intervenir auprès des gérants pour qu’une telle situation ne se reproduise pas l’année prochaine.